Recent reviews by Aoi

Deux gameplays sont proposés, l'exploration, �  fouiller chaque recoin en grimpant partout avec des gadgets, et l'enquête, �  rendre service pour révéler les histoires d'un petit coin voué au cataclysme environnemental en quête d'un signal de détresse. Le système de composants en récompense des 2 gameplays permet d'acquérir des améliorations qui font aussi avancer dans le récit. Le jeu prend son temps et est plutôt contemplatif et c'est bien aussi d'autant qu'il est relativement court. La direction artistique fait le travail et le level design récompense la curiosité. On assistera �  des tranches de vies plausibles au vu du contexte avec des représentations diverses, et ca fait déj�  parler sur le sujet. Ceux que ca dérange au point pas pouvoir passer outre n'avaient de toute manière pas prévu de l'acheter et ont un problème avec le fait laisser des gens exister. On trouve quelques options d'accessibilité et c'est cool d'y avoir pensé même si toute l'industrie aurait besoin d'aller plus loin. Ca reste un petit jeu, le premier d'un petit studio et c'est un petit peu différent. C'est une proposition des conséquences de l'accélérationnisme technologique, j'aime bien le thème, je suis bon public, j'ai passé un bon moment.

On linux:
- Audio glitches
- Random crashes throughout the game most notably during intro cutscene
- Alt + Tab is broken
Can be mostly manually fixed though

This game is just amazing. It's the closest to Ataraxia I've achieved in quite a while in those dark times.
A fresh perspective on non-euclidian wrapping spaces.
Inb4: a linux version is not to exclude in a foreseeable future, yet it works flawlessly on Proton.

The gameplay was matured for over 7 years by WIlliam Chyr and his team.
With his analogy to the Prestige, concept is simple:
1) Classic puzzle game, put cubes on switches,
2) Each plane from space has its own gravity, and cubes only react when you change to according gravity
3) The world wraps around and is seamlessly infinite.

The progress is really well balanced, you're introduced to each mechanic, one after the other and the element placement is very clever so highlight your goals at any given moment.

The goal yet is clearly unknown at the beginning and it's your duty to discover what this world has to say to you, how it works, and what it's going to offer to you.

The graphics are deliberately minimalist, yet shaders are just so gorgeous.
With a cell shaded atmosphere, the game has pastel relaxing palettes.
Barely any texture, yet there are so many details in the geometry, definitely a tribute to the art of architecture.
Not to mention those either glitchy or super-complex entities that are just mesmerising, you'll surprise yourself staring at the game, without doing anything just trying to capture than magnificent and peaceful atmosphere.

The music is seamless, quite accurate and in par with the look.
It dynamically intensifies when you're close to solve an puzzle or discover a new area, and build a tense feeling when you trigger narratives.
In one word, hypnotic.

The sound effects are quire precise too, any action in the game whether it's active or passive will be notified to you in a subtle but pleasant audio feedback.

As a developer I'm just amazed by all the work put into this engine, not to mention the polishing pass that was underwent.
There is also a photo mode in which you can play around with countless settings and filters (including orthographic camera).
I hint there's a few secrets here and there to be discovered, yet those might require an understanding of the game mechanics I did not achieve yet.


This game is a masterpiece.
Both relaxing with the look-and-feel and demanding because of the unusual puzzle in that unreal world.
It just feels right, and you'll go through a few feelings, feeling lost, frustrated, proud to overcome difficulty, wondered at this world very own rules, relaxed at the palette and architecture and ultimately smart.
You're being transported to another world and your mind automatically shifts to a wrapping paradigm.
When you can back, you might actually have a different perspective on the real world.
Ataraxia.

Red strings club is timeless.
It depicts a beautiful, colorful, yet fascinating cyberpunk dystopia.

The gameplay is oriented toward social engineering.
You either play a welcoming barman or a skilled hacker.
Both will have to choose discerning topics to speak about to their interlocutor to unveil a much bigger plot.
On the bar side, you have the special ability to craft fine tuned cocktails to change the mood of your host.
On the hacker side, you will have access to a voice coder to pretend being someone from the company and get more data in order to fake new voices and finally reach high representatives.
I'm not gonna spoil anymore but I found the introduction phase just mindblowing.

The music is just gorgeous, I didn't notice it but it blends perfectly and I may have just stood there listening to it for hours.

The story is really nice, absorbing and well written, I will definitely play again to see how many paths lead to the end.

Great documentary.

If you're interested in either the creators of The Binding of Isaac, Braid or Fez.
That's all it is about.
Enjoyed watching it, even if I have some heavy personnal thoughts about some people.

Si vous aimez découvrir les jeux ambitieux mais pas fini et peu connu, prennez le en solde. Autrement passez votre chemin.

J'ai joué �  ce jeu pour la première fois sur xbox, c'était un xbox live arcade.
J'ai voulu croire en ce jeu, je l'ai même racheté sur Steam.
Si je devais le décrire en 3 mots, ambitieux mais décevant.

L'histoire prend place sur un gigantesque bateau de croisière qui semble être une des dernières cités humaine après l'élévation extrême du niveau des mers. Lors d'une fête quelconque du x-ième anniversaire de je ne sais trop quoi, une organisation prend le bateau d'assaut, les néo-malthuziens. Avec son ordi de poche ("NAVI"), Kate, technicienne de maintenance, va devoir mettre �  mal le plan de ces terroristes.
Les néo-malthusiens se veulent les descendant spirituel de malthus, philosophe qui apporta le courant de pensée du malthusianisme. Selon ce dernier, la population ne peut excéder la capacité de production des ressources alimentaire, il détermine ainsi un seuil de population au dél�  duquel l'humanité ne deviendrait que l'ombre d'elle même. L'idée est simpa mais l'histoire ne développe rien, n'apporte aucun message, c'est juste un prétexte pour faire péter un bateau...

Un mot sur le moteur de jeu, il offre pour l'époque une modélisation de l'eau assez bluffante, ainsi on passe la plupart du jeu �  ouvrir des portes/tirer sur des vitres pour libérer des volumes d'eau et résoudre des puzzles. Par exemple un volume d'eau qui s'ajoute ou se soustrait �  celui de la pièce où vous vous trouvez permettra élever/descendre le niveau de l'eau et libèrera certains accès. Le NAVI permettra également de visualiser le niveau de l'eau en plus des éléments insivibles �  l'oeil nu (les marques laissées par les terroristes) ou permettra aussi de pirater des caméra de sécurité ou des portes �  distance. Enfin il y certaines phases qui font semblant d'être des phases d'infiltration et le reste du jeu est du shooter avec quelques micro phases de plateformes ratées. Arme de poing en main, vous avez le choix entre plusieurs munitions que vous débloquez vers le milieu/fin du jeu alors que les ennemis ont la plupart du temps des armes lourdes. Petite nuance, on peut mettre �  mal les ennemis grâce au décor, les électrocuter, les noyer, faire exploser un truc derrière eux, mais la mécanique est maladroite bien que particulièrement drôle au début.
Le point le plus négatif reste l'acte 3, attention spoiler:
Dans l'acte 3 vous vous mangez une dose de radiation létale, sauf que vous avez quelques secondes pour trouver le corps d'un scientifique mort pour lui piquer ses pillules magiques. Cette phase revient plusieurs fois et elle est très maladroite.. Au dél�  de ça, tout l'acte 3 repose sur des vagues et des vagues d'ennemis or le postulat du jeu était d'être plus futé que les ennemis et se servir de l'environnement car l'arme de la protagoniste est volontairement moins puissante que les mitraillettes et autres fusils �  pompe des ennemis. Cependant on se croirait dans "Call of", des ennemis qui poppent dans tous les sens, pour un oui pour un non ce qui est maladroit. Enfin �  5 minutes de la fin, la dose de radiation nous accorde un pouvoir magique du ♥♥♥♥♥♥♥♥♥ et permet de manipuler l'eau, alors je salue la "prouesse technique", ça m'a fait pensé �  la révolution du gravity gun d'half life mais on est plus en 2004.
Et avant qu'on ai compris comment marche le bouzin, on nous met un boss de fin over-über-♥♥♥♥♥♥♥♥♥ ultra cheaté qui tire des lasers de la taille d'une benne �  ordure, et l'unique moyen de le vaincre est d'alterner une munition en particulier et le pouvoir magique de la manipulation pour lui tirer des bidons explosifs dessus, c'est le comble.
On le comprend quand on sait que l'acte 3 a été rajouté bien après la sortie du jeu mais le voir bâclé �  ce point n'excuse pas tout.
Au del�  de ça pour ceux qui veulent finir tous les succès, bon courage, il vous faudra trouver 72 items bien planqués et donc vous retaper le calvaire qu'est ce jeu plusieurs fois (sans parler des "médailles" qui sont des défis aussi inutile que contraignant, vous en ferez 90% sans faire exprès mais les 10 derniers pourcent auront votre peau).

Tout le jeu prend place dans les salles des machines du bateau. Attendez vous �  voir beaucoup de couloirs et de salles des machines d'un vaisseau naval futuriste. On n'aperçoit �  aucun moment la mer, ni les quartiers habitables, ni la surface du bateau. Seulement ces satanées salles des machines immergées au possible.
La bande son fait son job, mais elle n'est pas extraordinaire, surtout pas dans l'acte 3 qui finira par vous casser les oreilles �  force de vomir de l'action. Le jeu n'est pas doublé en français, tout juste traduit jusqu'au milieu de l'acte 3 (rajouté plus tard, sous forme de dlc/mise �  jour �  l'époque de la xbox).

• Physique de l'eau bluffante pour l'époque
  
• Environnement (et histoire si on la trouve) original
  
• MAVI (l'effet graphique rend bien et la mécanique est inteligente)

• Les gunfights (maladroits)
  
• Les gunfights aquatiques (bonne idée mais ça rend mal)
  
• Les gunfights de L'acte 3 (en fait l'acte 3 tout entier)
  
• Les collectibles (trop nombreux, trop cachés, trop près des gunfights, qui raconte une histoire pauvre et pas si intéressante)
  
• Scott (le sidekick/opérateur qui vous cassera les oreilles tout les 2 mètres parce que vous ne savez clairement pas vous débrouiller seule)

Si vous tenez vraiment �  vivre une expérience qui se veut complète avec un scénario original et raffraichissant dont l'élément central est l'eau, prenez le solde et n'en espérez pas trop.
Sinon passez votre chemin, le jeu est bien mais inachevé et maladroit malgré son ambition. Il m'a émerveillé les 10 premières minutes de jeu il y a plusieurs années, mais je reste déçu depuis.

Play it, it's free and lasts less than 5 minutes, very beautiful and oniric.