Recent reviews by StraToN

Une histoire magnifique et émouvante. Très peu de gameplay, énormément de dialogues, mais une écriture de l'ensemble absolument parfaite et touchante. Rien �  redire. J'ai pleuré.

edit: en fait, cette évaluation a été écrite trop vite. Ce n'était pas fini après le générique. J'ai vraiment vu la fin, cette fois.
Et je n'ai pas besoin de changer un seul mot que j'avais écrit. A part que j'ai pleuré encore.
Merci aux auteur-trice-s.
Et bravo aux traducteurs français, c'est peut être la meilleure traduction d'un jeu narratif que j'ai vue �  ce jour.

Un excellent jeu de gestion. Pour info je joue directement en mode normal, "the hard way".
Note: je n'ai jamais joué �  Game Dev Studio, mais pas mal �  Game Dev Story sur mobile. Il y a evidemment quelques similitudes, mais City Game Studio va plus loin. Il est tout �  fait envisageable �  partir d'un moment de se contenter d'éditer des jeux faits par d'autres studios, c'est viable! Et si le jeu s'appelle "City", c'est parce que toute la ville tourne autour de ça, avec la possibilité de créer des universités, d'acheter des bâtiments...

J'apprécie particulièrement le fait d'avoir de la compétition et des vraies informations financières. Il est POSSIBLE de perdre dans City Game Studio, et ce n'est pas basé sur le hasard. On apprend �  optimiser son jeu �  chaque fois qu'on en crée un nouveau d'un genre déj�  essayé et au fur et �  mesure notre studio maîtrise le genre.

Il y a du challenge parce qu'il y a beaucoup de paramètres �  gérer, et même quelques minijeux pour briser la monotonie. Je suis loin d'avoir tout vu.

J'ajoute que le développeur est français et très �  l'écoute. Et un bonus pour utiliser Godot Engine ;)

Mon avis est forcément un peu biaisé en tant que fan de la (presque) première heure du Donjon de Naheulbeuk. Néanmoins j'ai réellement passé de très bons moments �  jouer �  ce jeu. N'étant pas forcément un aficionado des tactical RPG, j'ai trouvé ce mode de combat assez bien choisi et plutôt malin.

J'ai fini le jeu en mode ballade de taverne. Je pense que la difficulté était assez bien dosée dans les combats, il m'est arrivé d'avoir �  en recommencer 2 ou 3 et d'en gagner quelques uns sur le fil. En revanche, beaucoup d'objets consommables sont quasi inutiles. Le fait de ne pouvoir en avoir que 2 ou 3 �  la ceinture fait qu'il est difficile de les utiliser, d'autant que la priorité est souvent donnée aux potions de soin. A titre d'exemple, je n'ai jamais eu besoin des potions de mana, mes magiciennes n'ayant jamais été en rade. De même pour les potions d'endurance d'ailleurs. De plus, le tarif des siestes �  l'auberge est certainement un peu faible : on préférera souvent faire le chemin vers la taverne pour soigner tout le groupe pour 100 �  400po au lieu de gaspiller 15 potions et des bandages. J'ai terminé le jeu avec plus de 100k po, autant dire que je n'ai pas retrouvé la Compagnie au raz des pâquerettes de la saga audio (c'est cependant rigolo d'entendre le nain se plaindre qu'on prend son or alors qu'il est plein aux as :D). Je proposerais de leur faire rencontrer régulièrement des envoyés de la Caisse des Donjons pour leur prendre une partie de leur or (ça pourrait même faire un combat difficile et amusant).

Je voulais remercier chaleureusement les développeurs de ne pas avoir mis une quelconque protection sur le jeu, ce qui fait qu'il tourne parfaitement avec Proton sous Linux, avec quelques ralentissements dans l'inventaire, rien de terrible. C'est peut être un détail pour certains, mais pour d'autres c'est un argument fort �  l'achat. Bravo donc !

Un peu de background pour commencer. J'ai connu ce jeu dans un test de CanardPC d'abord (puis dans un article du même mag dans lequel un pigiste se voit forcé de jouer �  un jeu d'un genre aux antipodes de ce qu'il apprécie lui-même), puis quelques remarques �  gauche et �  droite et finalement j'ai décidé de me lancer.

Je ne suis pas spécialement un amateur du genre "visual novel" �  cause de l'inégalité de l'écriture qu'on peut trouver dans les jeux qui le représentent.
Pourtant, j'ai terminé ce jeu d'une traite. Il m'a pris entre 4 et 5 heures en tout. Soit environ 1 heure de ce qui fait le principe du dating sim : on incarne un garçon, on alterne les dialogues avec plusieurs jeunes filles membre du club de littérature du lycée, et on "fabrique" des poèmes en choisissant 20 mots qui correspondront le mieux �  la fille �  qui l'on veut plaire. C'est gnangnan, mais ça permet aussi de poser une atmosphère et des relations avec tous les personnages, heureusement pas nombreux car nos seules interlocutrices sont les 4 autres membres du club de littérature.

Cela pour mieux se voir détruire toute cette atmosphère quelque peu niaise pendant les 3-4 heures suivantes. Alors certes, ce n'est pas tant le fait de voir cette situation simplement bouleversée qui frappe dans ce jeu, mais la violence et le dérangement provoqué dans le jeu lui-même. Je ne peux pas en dire trop �  ce sujet, mais je peux dire qu'il classe directement ce jeu dans la catégorie des visual novels écrits avec virtuosité. Les développeurs jouent autant avec le média (le jeu) qu'avec les sentiments qu'il a lui-même induits chez le joueur un minimum attentif �  l'histoire.

Je ne saurais trop vous conseiller de jouer sous votre vrai prénom au lieu d'un pseudonyme, en tout cas si vous comptez vivre l'histoire pleinement, ce que je vous conseille aussi. De toute façon, ce jeu ne se joue pas �  la légère de par les sujets qu'il aborde après la première heure de jeu.

En conclusion, ne jouez pas �  ce jeu si vous vous attendez �  un Xème dating sim pourrave parce que ce jeu n'en est pas un, mais alors pas du tout. Jouez �  ce jeu si vous aimez les jeux qui vous plongent dans une atmosphère et vous retournent le cerveau comme The Stanley Parable. Et si vous êtes vraiment, vraiment réfractaire aux enrobages roses bonbon habituels du genre, alors prenez votre mal en patience pour vaincre la première heure de jeu. Vous risqueriez sinon de passer �  côté d'une petite perle vidéoludique.

I've been using Godot for quite some time now and it has my preference over any other engine. It is very easy to use and allows both fast prototyping and incremental development. Its Scene Tree design combined with inheritances is working great, allowing a better splitting of tasks. Combined with git-friendliness, the combination is powerful.

I also contribute to it when possible, and I've met a great community with incredibly nice people.

Godot is on its way for wide adoption: it's Free and Open Source, so any user (indie or big teams) have the control on it. Godot is being more and more taught in school and universities everywhere, and you can find many tutorials on Youtube and the number grows fast.

+ 2D and 3D
+ Scene tree + inheritance
+ Exports to Windows, Linux, MacOS, iOS, Android, HTML5...
+ Editor working on Windows, Linux, MacOS (and proven to work in a web browser... :o)
+ Tightly linked to other FLOSS design softwares such as Blender, GIMP...
+ Community

Ce jeu est incroyable. Je ne sais même plus si je peux lui donner cette appellation, en fait. Ce jeu appelle �  la réflexion. Il fait appel �  vos sentiments. Voulez-vous finir le jeu ? Ou voulez-vous sortir de ce chemin tout tracé ?
The Stanley Parable est un jeu cruel. Il est magnifique. Il est horrible. Il est vrai. Il est faux. Tout cela �  la fois.

Excellent jeu. Ça bouge tout le temps, nouveaux heros, modes de jeux... et gratuit !